Les Douches la Galerie
Secteur Général
Stand C14
5, Rue Legouvé
75010 Paris
France
Présentation de la galerie
Depuis 2006, Les Douches la Galerie défend une photographie historique et contemporaine, avec une attention particulière pour la photographie documentaire, les expérimentations formelles et les propositions artistiques actuelles qui questionnent la frontière du médium. Avec aujourd'hui, un regard particulier sur le dessin et les tapisseries.
Représentante exclusive en France des estates de Berenice Abbott, Arlene Gottfried, Ernst Haas, Vivian Maier et Ray K. Metzker, Les Douches la Galerie accompagne également des artistes vivants dans la reconnaissance de leur œuvre en France et à l'étranger.
À travers plus de soixante expositions monographiques et collectives et un fonds riche de plus de 3 000 photographies, Les Douches la Galerie propose une vaste sélection d'œuvres du début du 20e siècle à aujourd'hui, dans un souci constant d'excellence du tirage. Engagée dans la valorisation des artistes et estates représentés, Les Douches la Galerie accompagne les institutions muséales comme les collectionneurs privés, qu'ils soient aguerris ou novices, dans la constitution de leurs collections. Membre de l'AIPAD (Association of International Photography Art Dealers), Les Douches la Galerie participe à des foires internationales telles que Paris Photo et l'AIPAD Show New York.
Présentation de l'artiste en focus
Après cinq décennies de photographie, où les dessins muraux se sont instaurés comme des éléments caractéristiques de son esthétique dite « ballenesque », Roger Ballen s’est mis à intégrer des dessins directement dans ses polaroids. Il réalise pour la première fois des images qui associent physiquement dessin et photographie. Cet ajout de dessins transcende le support même de la photographie. Au lieu d’apposer de la photo sur un dessin, il a voulu que cette série ait la spécificité d’amener le dessin dans la photographie, s’inscrivant ainsi dans une technique résolument mixte. Plutôt que de proposer des images du réel, il façonne une nouvelle version du dessin qui repousse les limites de la réalité. Le résultat de cette approche n’est ni un dessin, ni une photographie, mais bien les deux.
